SALAIRES 2024 : l’ULTIM CHALLENGE ⛵
L’intersyndicale demande l’ouverture immédiate des négociations, pour aboutir au
plus tard le 16 janvier.
Sans résultats, tenez-vous prêts à entamer une grève reconductible dès
le 23 janvier.

L’intersyndicale demande l’ouverture immédiate des négociations, pour aboutir au
plus tard le 16 janvier.
Sans résultats, tenez-vous prêts à entamer une grève reconductible dès
le 23 janvier.

Cher(e) collègue,
Suite à la mobilisation du mardi 19 décembre dernier, tu trouveras en pièce jointe un tract intersyndical qui sera distribué aujourd’hui.
Rendez-vous le 23 janvier 2024 pour le match retour (NAR) !
??Bloques déjà ton agenda !
Amicalement.

Succès de la mobilisation mais nous ne sommes pas dans une entreprise à mission
….
Inadmissible !
Découvrez la communication de l’intersyndicale ci-après ou en PJ.
Rendez-vous en janvier lors de la séance de négociations sur les salaires. 

Mobilisation générale aujourd’hui, aux sièges du Relecq Kerhuon ou de Pessac et de Grand Girac pour donner de la voix, discuter et échanger sur les sujets qui nous concernent tous et surtout sur le sujet de la Prime du Partage de la Valeur (PPV). ??
Venez nombreux on compte sur vous, plus nous serons nombreux et plus cela pèsera sur les négociations ?.
Le droit de grève est un droit fondamental. A ce titre, la grève bénéficie d’une protection juridique particulière.
La grève est un droit individuel qui doit s’exercer collectivement. Il consiste à cesser le travail collectivement et de manière concertée en vue d’appuyer des revendications professionnelles.
Je ne reste pas isolé·e : avant, pendant, après la grève, je me rapproche du syndicat UNSA pour toute interrogation.
Tout salarié·e du privé, tout agent·e du public peut donc faire grève sauf exceptions concernant certains services (les policiers, les CRS, les militaires, les personnels de l’administration pénitentiaire, les personnels des transmissions du Ministère de l’Intérieur, les magistrats de l’ordre judiciaire et certains personnels de la navigation aérienne).
La grève est un droit individuel qui doit s’exercer collectivement. Cependant, dans le cadre du conflit des retraites et parce que je participe à un appel à la grève lancé au niveau national, je peux faire grève même si je suis le seul ou la seule à le vouloir.
Pas de problème, l’UNSA a déposé les préavis de grève pour couvrir les secteurs d’activité du public comme du privé qui nécessitent ce dépôt.
Un préavis est une notification à remettre plusieurs jours avant le déclenchement de la grève. Il n’est exigé que dans la fonction publique, les entreprises privées en charge d’une mission de service public et quelques autres secteurs notamment du transport.
Pour tous les autres employeurs du privé, il n’y a pas d’exigence de préavis de grève.
Oui à tout moment et sans formalités préalables sauf dans certains secteurs spécifiques. Pour en savoir plus, je me rapproche du syndicat UNSA de mon secteur d’activité.
Le syndicat UNSA informe l’employeur des revendications. Son rôle est aussi de mobiliser les salarié·es en distribuant des tracts par exemple.
S’il n’y a pas de syndicat dans mon entreprise, je me rapproche de l’Union départementale UNSA.
Tout dépend du secteur d’activité.
Dans le privé, je ne suis pas obligé·e d’informer mon employeur de mon intention de faire grève. Si je souhaite cependant l’informer, je peux le faire par mail, par courrier, et même oralement… et je peux préciser la date et la durée.
Certaines entreprises du privé (en charge de gestion de services publics par exemple) et certains services publics sont toutefois tenus de demander aux salarié·es ou aux agent·es de se déclarer avant le début de la grève. Je me renseigne auprès du syndicat UNSA.
Non. Je ne peux pas être sanctionné·e ou licencié·e si j’exerce mon droit de grève dans le respect de la loi.
Non. Je peux faire grève un quart d’heure, une demi-journée, un jour ou plus. Mais pour les agent·es de l’État, la retenue sur salaire se fait par journée entière même s’il se met en grève seulement quelques heures.
Les retenues sont différentes selon le secteur d’activité.
Dans le privé, ma retenue sur salaire doit être strictement proportionnelle à la durée d’interruption du travail.
Si je suis agent·e de l’Etat : pour chaque jour non travaillé, 1/30ème de mon traitement mensuel est retenu que je fasse grève quelques heures ou une journée. Si je fais grève du vendredi au lundi inclus, j’aurai 4 jours de retenue sur ma rémunération puisque le samedi et le dimanche seront décomptés, même si je ne travaille jamais le week-end.
Si je suis agent·e de la Territoriale ou l’Hospitalière, la retenue est proportionnelle à la durée de la grève soit 1/30ème pour une journée d’absence, 1/60ème pour une demi-journée d’absence, et 1/151,67ème par heure d’absence.
Non. La grève suppose une cessation complète du travail.
Tous les mouvements qui n’entrainent pas un arrêt total du travail sont illicites (grève du zèle (exécuter avec un perfectionnisme exagéré ses tâches), grève perlée (ralentir son travail ou l’exécuter de manière partielle ou défectueuse…). Je ne serai pas donc pas protégé par le droit de grève.
Elle est interdite dans le secteur public, sauf pour les personnels des communes de 10 000 habitants et moins.
Dans le secteur privé, sauf abus, la grève tournante, (échelonner la cessation du travail ou établir un roulement concerté par catégorie professionnelle, par secteur d’activité pour ralentir le travail) est admise.
Après ce jeudi multicolore et les plus de 2 millions de personnes dans la rue, la prochaine journée de grève et de mobilisation est fixée au 31 janvier.
En attendant, tous les jours, partout sur le territoire ou dans les secteurs d’activité, des initiatives et des mobilisations doivent se mettre en place. On n’attend pas le 31 janvier sans rien faire. On utilise la semaine prochain sans laisser le champ libre à la propagande gouvernementale mais pour convaincre plus de salarié·es et d’agent·es de la Fonction Publique, de citoyennes et de citoyens de rejoindre les cortèges du 31 janvier.
Vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse de l’intersyndicale.
Document joint : communique_du_19_janvier-2.pdf
Dans un contexte sanitaire et économique compliqué, et après le report du scrutin, l’UNSA marque une progression importante en voix comme en pourcentage et s’installe comme la troisième force syndicale pour les salarié·es des TPE. Mieux, l’UNSA est deuxième chez les salarié·es non cadres et quatrième chez les cadres.

Jusqu'au 31/12/2025, recevez 30€ en chèque Cadhoc
pour toute nouvelle adhésion