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Selon une étude du think tank libéral Institut Sapiens, cinq métiers sont en sursis : comptable, caissier, employé de banque ou d’assurance, secrétaire de direction et manutentionnaire.

Pour les uns, c’est un motif d’angoisse. Pour les autres, un formidable espoir. Mais les faits sont là et il faut s’y faire. Le numérique bouleverse le monde du travail et cette révolution digitale n’est pas près de s’arrêter.

Selon une étude du think tank libéral Institut Sapiens que Le Parisien-Aujourd’hui en France publie en exclusivité, cinq métiers ont été ces dernières années particulièrement touchés par les bouleversements liés à la robotisation et l’intelligence artificielle au point d’être menacés.

2,1 millions d’actifs « ont une forte probabilité de voir leur emploi disparaître dans les prochaines années », note l’étude. Il s’agit des métiers de comptable, de caissier, d’employé de banques et d’assurance, de secrétaire bureautique et de direction et enfin, de manutentionnaire.

Plus d’employés de banque en 2050

L’Institut Sapiens, qui s’est appuyé sur des données de la Dares – le service des études statistiques du ministère du Travail – regroupant les effectifs des emplois classés par familles professionnelles sur trente ans a conclu, par exemple, que la profession d’employé de banque, dont les effectifs ont fondu de 40 % entre 1986 et 2016, pourrait disparaître totalement à l’horizon 2050, soit quelques années avant les comptables – dont la date d’extinction prévue est en 2056.

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